mardi 17 août 2010

L'Empotée et les cadres de porte

Autant je peux avoir le sens de l'orientation du tonnerre, une sens de l'équilibre qui se défend et un semblant de pas pire capacité à jauger l'espace à l'œil (vous savez, pour éventuellement placer un certain nombre de meubles dans une pièce)... autant mon espace personnel, corporel, j'ai toujours bien de la difficulté. Genre, un couloir avec un coin plus loin ou un meuble en plein milieu, nécessairement, j'vais m'accrocher dedans. Je suis toujours sur le bord de l'éviter, mais ooooooh, non, voilà, j'ai foncé dedans. Ça et les trente mille façons de se coincer les doigts dans des endroits impossibles et inimaginables. Oh, et puis se cogner la tête un peu partout, voire sur des trucs qui sont sur le plancher (fouillez-moi comment j'ai fais mon compte). Bref : j'ai mal!

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